Remarque: ce résumé d'article a été écrit par un étudiant ou un enseignant du DEPARTEMENT DE MEDECINE GENERALE DE PARIS 7. Il est en accès libre. La rédaction des résumés est faite dans le cadre de la REVUE DE PRESSE du DMG.
Bien qu’il y ait une stabilisation de la prévalence de l’obésité dans la population générale, l’obésité et le surpoids continuent de progresser chez certaines populations. Le surpoids de l’enfant doit être dépisté le plus tôt possible afin d’éviter la constitution d’une obésité qui a plus long terme sera source de complications précoces et graves. Dans cette optique, il est indispensable de tracer très régulièrement la courbe de corpulence de tous les enfants à la recherche d’un rebond adipocytaire précoce (entre 1 et 5 ans), signe prédictif et facteur de risque d’obésité ultérieure. Un rapport tour de taille supérieur à 0,5, est signe d’obésité abdominale et prédictif de troubles métaboliques pour plus tard.
L’obésité commune est majoritaire et résulte d’une interaction entre une susceptibilité génétique et un environnement à risque. Les cas d’obésité secondaire génétique, iatrogénique (corticothérapie, anti-épileptique) ou endocrinienne (hypothyroïdie, Cushing) sont très rares.
L’annonce du diagnostic de surpoids ou d’obésité peut être mal vécu et doit éviter tout jugement ou culpabilisation inutile de la famille. Il est donc importants de bien choisir ses mots.
Le surpoids résulte d’un déséquilibre de la balance énergétique qui devient positif. De plus ils sont favorisés par de nombreux facteurs de risque souvent intriqués. Pris séparément, les facteurs de risque liés à des prédispositions génétiques (héritabilité et épigénétique) ou les facteurs de risque d’origine environnementales ne peuvent à seuls expliquer la survenue d’obésité, mais c’est bien par l’interaction de ces 2 types de risques qui l’explique.
Parmi ces facteurs environnementaux, le niveau socio-économique bas constitue un risque ce qui explique pourquoi la prévalence de l’obésité continue à augmenter alors qu’elle se stabilise dans les autres couches de la population. Les facteurs de risque environnementaux survenant pendant la grossesse et ceux concernant les attitudes éducatives de l’entourage autour de l’alimentation (permissives ou au contraire restrictives) doivent être connus car pouvant être des leviers de prévention primaire.
Bien qu’il y ait une stabilisation de la prévalence de l’obésité dans la population générale, l’obésité et le surpoids continuent de progresser chez certaines populations. Le surpoids de l’enfant doit être dépisté le plus tôt possible afin d’éviter la constitution d’une obésité qui a plus long terme sera source de complications précoces et graves. Dans cette optique, il est indispensable de tracer très régulièrement la courbe de corpulence de tous les enfants à la recherche d’un rebond adipocytaire précoce (entre 1 et 5 ans), signe prédictif et facteur de risque d’obésité ultérieure. Un rapport tour de taille supérieur à 0,5, est signe d’obésité abdominale et prédictif de troubles métaboliques pour plus tard.
L’obésité commune est majoritaire et résulte d’une interaction entre une susceptibilité génétique et un environnement à risque. Les cas d’obésité secondaire génétique, iatrogénique (corticothérapie, anti-épileptique) ou endocrinienne (hypothyroïdie, Cushing) sont très rares.
L’annonce du diagnostic de surpoids ou d’obésité peut être mal vécu et doit éviter tout jugement ou culpabilisation inutile de la famille. Il est donc importants de bien choisir ses mots.
Le surpoids résulte d’un déséquilibre de la balance énergétique qui devient positif. De plus ils sont favorisés par de nombreux facteurs de risque souvent intriqués. Pris séparément, les facteurs de risque liés à des prédispositions génétiques (héritabilité et épigénétique) ou les facteurs de risque d’origine environnementales ne peuvent à seuls expliquer la survenue d’obésité, mais c’est bien par l’interaction de ces 2 types de risques qui l’explique.
Parmi ces facteurs environnementaux, le niveau socio-économique bas constitue un risque ce qui explique pourquoi la prévalence de l’obésité continue à augmenter alors qu’elle se stabilise dans les autres couches de la population. Les facteurs de risque environnementaux survenant pendant la grossesse et ceux concernant les attitudes éducatives de l’entourage autour de l’alimentation (permissives ou au contraire restrictives) doivent être connus car pouvant être des leviers de prévention primaire.
Le merite de cet article de synthèse, outre un rappel precis des recommandations de dépistage, est de d'approcher les aspects psychologiques de la prise en charge : annonce, image de soin, relation à l'alimentation
Pour la pratique au quotidienne, il faut être vigilant à bien compléter les courbes de poids et de taille, mais également celle de la corpulence dite courbe d'IMC.En effet , la dynamique de progression de l'IMC est au moins aussi importante que le chiffre d'IMC dans l'absolu .Seulle la visualiasition sur la courbe permet de l'apprecier et d'anticiper l'obésité avérée.
L'article met en valeur un autre point important à aborder auprès de l’enfant mais aussi de la famille, en dehors l’activité physique et d’une alimentation équilibrée : il s’agit de l’image construite autour de la nourriture. Elle peut soit être une récompense quand elle provoque du plaisir mais aussi punitive quand on prive l’enfant d’une récompense agréable. Il faut aussi effacer du stéréotype culturel de l’enfant potelé en bonne santé.
il est important de pouvoir aussi rassurer les parents sur l’évolution physiologique de l’enfant,.Un enfant avec des cotes et épines dorsales visibles est tout à fait normal, et il ne faut pas s’acharner à le faire manger de force pour qu’au final, une relation pathologique naisse entre l’enfant et la nourriture.
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