Remarque: ce résumé d'article a été écrit par un étudiant ou un enseignant du DEPARTEMENT DE MEDECINE GENERALE DE PARIS 7. Il est en accès libre. La rédaction des résumés est faite dans le cadre de la REVUE DE PRESSE du DMG.
Reconnues et traitée de manière appropriées les principaux problèmes des maladies psychiatriques en premiers soins chez les nouveaux immigrants et les réfugiés propose un défi en raison des différences des différences de cultures et de langues mais aussi à cause du stress spécifique associé à la migration et la réimplantation.
Nous avons pour but d’identifier les facteurs de risque et les stratégies dans la méthode d’estimation des maladies psychiatriques et dans la prévention et le traitement des principales maladies psychiatriques dans les premiers soins chez les immigrants.
Les auteurs de ce travail ont cherché dans la littérature et fait une compilation de ce que nous avions trouvé sur la prévalence et les facteurs de risque pour les principales maladies psychiatriques en rapport à l’immigration, l’influence de la culture sur la santé et les maladies et sur les stratégies cliniques pour améliorer les soins pour les immigrants et les réfugiés.
Les publications ont été sélectionnées pour leur pertinence, l’utilisation de données récentes et la consultation de qualité d’experts en santé psychiatrique chez les immigrants et les réfugiés
La trajectoire de la migration peut être séparée en trois phases : prémigration, migration et postmigration ou réimplantation. Chaque phase comprend ses risques spécifiques et ses expositions. La prévalence des différentes maladies psychiatriques est influencée par la nature de l’expérience de l’immigration, c’est-à-dire l’adversité de l’expérience avant pendant et après la réimplantation.
Les défis spécifiques dans la santé psychiatrique des migrants incluent les difficultés de communication en raison des différences de langue et de culture ; les effets de la culture façonnant les symptômes et le comportement du malade aidant au diagnostic et au traitement ; les différences au sein de la structure familiale, les procédés d’adaptation affective, les conflits culturels et intergénérationnel ; et l’acceptation de la société d’adoption au sein du travail, du statut social et l’intégration. Ces problèmes peuvent être résolus à travers différentes pistes, le recours à des interprètes entrainés, des entretien avec les familles et des consultations avec les communautés.
L ‘immigration présente un stress spécifique. Beaucoup d’immigrants s’améliorent au moment de la réimplantation. Dans le suivi des immigrants, la demande de renseignements systématique basée sur des indicateurs culturels appropriés sur le fonctionnement social, professionnel et familial par des cliniciens formés devrait permettre de reconnaître les problèmes d’adaptation et se charger de la prévention et du traitement des problèmes de santé mental.
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